terça-feira, 25 de janeiro de 2011

Yo fui educado en el cine por Skorecki, su pensamiento contó más para mí. Si bien él era también bastante duro, su pensamiento no era el de la política de los autores, y eso me ha inspirado mucho. Ya en su momento vi que la idea de política de los autores podía ser contraproducente a un momento dado, pues no puede aplicarse de la misma forma que cuando se inventó. Ya no funcionaba, había que cambiarla. Él había comprendido, y fue uno de los primeros, una cosa que los Cahiers no comprendieron realmente: veían el cine en todas partes. Y no es verdad, el cine no está en todas partes.

La crítica de la vida - Entrevista con Pierre Léon a propósito de L'Idiot, por Fernando Ganzo. Lumière. 02

sábado, 22 de janeiro de 2011

Prefiro escutar Rendez-Vous do Jean Michel Jarre daqui até a eternidade a ter que enfrentar "pesquisa de linguagem" em filme brasileiro.

quinta-feira, 20 de janeiro de 2011

segunda-feira, 17 de janeiro de 2011

Sensação terrível ao me dar conta de que o único filme pertinente e atual sobre o Brasil dos últimos anos foi feito em 1989 por um italiano.

sábado, 15 de janeiro de 2011

« Most sea movies are action films, but La ligne d'ombre is an inaction film. It's a contemplative film. The ship won't move, and cholera breaks out on board. The ship I used was a two-master, a brig from Conrad's era. I've never sailed, and I hate to travel. The roadstead of Singapore was faked in Villefranche, and the roadstead of Bangkok in Nice. Better yet, for the Bangkok harbor we shot in the Bercy region of Paris - where Feuillade shot Fantômas. And it's perfect - you'd think you were really in Malaysia in Conrad's day. Curiously, when it was shown on television. I received a note from Marguerite Duras saying she liked it, which hadn't happened with Les rideaux blancs. There is a kinship between Conrad and Duras, whose writing is very feminine, full of sensuality. Both have mystery. »

Mystery and Melodrama: A Conversation with Georges Franju, Randall Conrad and Georges Franju. Film Quarterly, Vol. 35, No. 2 (Winter, 1981-1982), pp. 31-42

sexta-feira, 14 de janeiro de 2011

Minnelli

Um ano depois de L'eclisse; um ano antes de Il deserto rosso; no mesmo ano de Le mépris, Donovan's Reef, The Nutty Professor etc.

quarta-feira, 12 de janeiro de 2011

« Mi batalla actual es entre la intuición y el conocimiento. Si hubiera tenido esta conciencia cuando tenía cuarenta años, por ejemplo, hubiera sido fantástico, porque con ella podría haber profundizado mucho más cuando todavía me quedaban al menos treinta años para hacer cine. Pero ahora probablemente solo me quedan, como mucho, diez años más ».

Hou Hsiao-hsien

Cineastas contemporâneos

(...) Le but d'un cinéaste ne peut pas un seul instant être autre que de montrer aux hommes qui vivent en même temps que lui ce qu'il y a de plus important dans ce monde présent. Un metteur en scène moderne est nécessairement un metteur en scène décidé à être réaliste. Fritz Lang, Joseph Losey et Otto Preminger veulent faire des films avant tout populaires et réalistes, parce qu'ils veulent que le travail de concevoir et de réaliser des films soit d'abord une façon d'être honnête avec les choses, et qu'ils veulent faire partager aux autres cette honnêteté.

Marc C. Bernard, Exodus, Présence du Cinéma nº 11, fevereiro 1962

E pode acrescentar o Eastwood de Gran Torino, Invictus e Hereafter, em pé de igualdade com qualquer Hou e Edward Yang nesses filmes.

sábado, 1 de janeiro de 2011

(...) Sergio Citti, lui, est tous sauf qu’un monument national. Cas unique de cinéaste italien sous-prolétaire, cet ami et collaborateur de Pasolini pour prèsque tous ses grands chefs-d’oeuvre des années 60 est un anarchiste epicureen dont les films sont d’une sagesse bouleversante. Ses meilleurs sont, a mon avis, son exorde, OSTIA, dont il y a un DVD espagnol, et les télévisés IL MINESTRONE et SOGNI E BISOGNI, où son talent de conteur d’histoires a eu libre cours. En ayant été produits par la RAI, on peut les voir de temps en temps à la television italienne dans les heures qui précèdent le lever du jour. Tous ses autres films sont également très reussi, à l’exception du decevante VIPERA (Millennium Storm), où l’on peut voir Goffredo Fofi, mon critique italien favori et ancien collaborateur de Positif, jouer la part… d’un pretre! L’autre film de Citti disponible en DVD est CASOTTO (Medusa Home Entertainment), cruelle et très bonne comédie entierement tourné (sauf un reve de Gigi Proietti où appaire, justement, Catherine Deneuve…) dans une cabine balnéaire.






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