sábado, 2 de agosto de 2008

« La critique a été anéantie par l'intrusion de l'idéologie »

De ce creuset sortent, si on le leur permet, les œuvres enracinées : dans un terroir, un passé, une langue. Ce sont les seules qui durent. Voyez Gance, Renoir, Pagnol, Guitry, Rohmer, Sautet, Pialat, Gérard Blain, Tavernier, Bertrand Blier, certains films de Chabrol et de Corneau… Comment définir ce génie pour que la définition englobe des tempéraments et des inspirations aussi diverses ? Je dirais peut-être : une grâce poétique et une liberté d’allure consubstantiellement liées à la clarté toujours lumineuse de l’expression.

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Il n'existe pas d'art apatride, pas plus que d'art international (sauf fabriqué pour des galeristes marchands de soupe) ou continental, ou ethnique ou même religieux.

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(...) Je n’accorde aucun crédit à la critique actuelle en général, qui a donné maintes fois en matière de cinéma la preuve de son incompétence.

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Entretien avec Michel Mourlet

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